quel est le pays le plus malhonnête au monde

Aprèsplusieurs décennies de colonisation destructrice non-assumée, l’Occident se permet de donner des leçons de morale à des pays qui tentent de retrouver un semblant de droits. En effet, d’après une étude menée par l’université de Nottingham et récemment publié dans l’hebdomadaire scientifique Nature, le peuple marocain serait le peuple le plus Quelest le pays le plus malhonnête au monde ? Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Lweb.Tv Maroc on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Lweb.Tv Maroc on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account . Not now. AccueilL'histoire Comment la poussière de farine et une étincelle malhonnête ont fait exploser le plus grand moulin du monde en 1878 . L'histoire . Comment la poussière de farine et une étincelle malhonnête ont fait exploser le plus grand moulin du monde en 1878 . 2022. 2022. Lorsque Cadwallader Colden Washburn a construit un moulin à Minneapolis en 1874, c'était le Genreun autre pays que le Brésil Même Google n'arrive pas à repondre ma question - Topic Quel est le pays le plus métissé au monde ? du 07 Traductionsen contexte de "plus que malhonnête" en français-anglais avec Reverso Context : Se fondant sur le fait que Mr Powell avait la réputation d'être Premier Mail Site De Rencontre Exemple. L’Institut pour l’Économie et la Paix réalise chaque année, un classement des pays en fonction de leur dangerosité et de leur niveau de sécurité. Découvrez quels sont en 2018, les 5 pays les plus dangereux et les 5 pays les plus paisibles, en quelques photos saisissantes… de beauté ! Rédigé par , le 15 Aug 2018, à 16 h 40 min Le pays le moins dangereux au monde l’Islande L’Islande est l’un des 30 pays du monde qui ne possèdent pas d’armée. C’est le pays le moins dangereux de la Terre selon le Global Peace Index 2018. Il occupe la première place de ce classement depuis 2008 ! Le canyon enchanté de Fjadrargljufur © kavram Bravo, l’Islande ! Article mis à jour chaque année Illustration bannière Toutes les destinations ne se valent pas ici la Syrie ! – © quetions123 / Shutterstock Références Global Peace Index 2018 en anglais Pour vous c'est un clic, pour nous c'est beaucoup ! consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Pauline Petit A la découverte du monde de demain, initiatives positives, personnalités inspirantes, nouveaux modèles économiques. Sans cesse dans les livres, sur le Net... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur  27 Mai 2016 Jusqu’où ira Hillary Clinton pour accéder à la Maison-Blanche et que pourrait-on attendre de son éventuelle présidence? Nous avons posé la question à Diana Johnstone. Dans son récent ouvrage Hillary Clinton, la reine du chaos, elle analyse le lien entre les ambitions de la candidate sans scrupule et la machine qui sous-tend l’empire américain. Du coup d’Etat au Honduras à la guerre en Libye en passant par l’instrumentalisation de la cause féministe, Diana Johnstone nous dévoile la face cachée de la candidate démocrate et nous met en garde sur le Smart Power » cher à Clinton. Enfin, elle analyse pour nous le succès de Donald Trump et ce que son alternative représente vraiment. La course à la Maison-Blanche se fait au coude-à-coude. Hillary Clinton a-t-elle une chance de l’emporter ? Comment analysez-vous sa campagne jusqu’ici ? Elle a commencé sa campagne en grande favorite, mais ne cesse de baisser dans les sondages. Avec toute la machine du Parti démocrate à son service, un énorme trésor de guerre, et la certitude de gagner les premières primaires dans les Etats du Sud, Hillary Clinton avait une longueur d’avance qui rendait le rattrapage de son challenger imprévu Bernie Sanders quasi impossible. Pourtant, ce vieux sénateur peu connu, se qualifiant de socialiste démocratique » dans un pays où le socialisme est largement considéré comme l’œuvre du diable, a suscité un enthousiasme extraordinaire, notamment parmi les jeunes. Quoi qu’il arrive, la campagne inattendue de Bernie a réussi à attirer l’attention sur les liens quasi organiques entre les Clinton et Wall Street, liens occultés par les grands médias. Pour la première fois, ceux-ci ont été efficacement contrecarrés par Internet qui fourmille de vidéos dénonçant la cupidité, les mensonges, la bellicosité de Mme Clinton. Par ailleurs, Hillary Clinton court le risque d’ennuis graves à cause de son utilisation illicite de son propre serveur email en tant que secrétaire d’Etat. Au cours des primaires, sa popularité a baissé tellement que le Parti démocrate doit commencer à être effrayé de nommer une candidate trainant tant de casseroles. Les derniers sondages montrent que l’impopularité de Hillary Clinton commence à dépasser l’impopularité de Trump. Pour beaucoup d’électeurs, il sera difficile de choisir le moindre mal ». La campagne de Hillary Clinton aurait déjà coûté 89,6 millions de dollars. De quels personnages influents a-t-elle le soutien ? Peut-on deviner, à partir de là, quels intérêts Clinton pourrait défendre si elle devient présidente ? Celui qui se met le plus en avant est un milliardaire israélo-américain, Haim Saban, qui s’est vanté de donner autant d’argent qu’il faut » pour assurer l’élection de Hillary. En retour, elle promet de renforcer le soutien à Israël dans tous les domaines, de combattre le mouvement BDS et de poursuivre une politique vigoureuse contre les ennemis d’Israël au Moyen-Orient, notamment le régime d’Assad et l’Iran. Le soutien financier considérable qu’elle reçoit de l’Arabie saoudite va dans le même sens. D’autre part, les honoraires faramineux reçus de la part de Goldman Sachs et d’autres géants de la finance laissent peu de doute sur l’orientation de sa politique intérieure. En devenant la première femme présidente des Etats-Unis, pensez-vous que Hillary Clinton ferait avancer la cause féministe ? Le fait d’être femme est le seul élément concret qui permet à Hillary de prétendre que sa candidature soit progressiste. L’idée est que si elle brise le plafond de verre » en accédant à ce poste suprême, son exemple aidera d’autres femmes dans leur ambition d’avancer dans leurs carrières. Mais pour la masse des femmes qui travaillent pour de bas salaires, cela ne promet rien. Il faut placer cette prétention dans le contexte de la tactique de la gauche néolibéralisée de faire oublier son abandon des travailleurs, c’est-à-dire de la majorité, en faveur de l’avancement personnel des membres des minorités ou des femmes. Il s’agit de la politique identitaire » qui fait oublier la lutte des classes en se focalisant sur d’autres divisions sociétales. En d’autres termes, la politique identitaire signifie le déplacement du concept de l’égalité du domaine économique à celui de la subjectivité et des attitudes psychologiques. Dans votre livre, Hillary Clinton, la reine du Chaos, vous revenez sur la guerre du Kosovo. Hillary Clinton était la première Dame des Etats-Unis à l’époque. En quoi le bombardement de la Yougoslavie en 1999 a-t-il été un épisode marquant de son parcours politique ? Avec son amie Madeleine Albright, l’agressive ministre des Affaires étrangères de l’époque, Hillary poussait son mari Bill Clinton à bombarder la Yougoslavie en 1999. Cette guerre pour arracher le Kosovo à la Serbie fut le début des guerres supposées humanitaires » visant à changer des régimes qui ne plaisent pas à Washington. Depuis, Hillary s’est fait la championne des changements de régime », notamment en Libye et en Syrie. Dans mon livre, La Reine du Chaos, je souligne l’alliance perverse entre le complexe militaro-industriel américain et certaines femmes ambitieuses qui veulent montrer qu’elles peuvent faire tout ce que font les hommes, notamment la guerre. Un intérêt mutuel a réuni les militaristes qui veulent la guerre et des femmes qui veulent briser les plafonds de verre. Si les militaristes ont besoin de femmes pour rendre la guerre attrayante, certaines femmes très ambitieuses ont besoin de la guerre pour faire avancer leur carrière. Les personnalités les plus visiblement agressives et va-t’en guerre de l’administration Obama sont d’ailleurs des femmes Hillary, Susan Rice, Samantha Power, Victoria Nuland… C’est un signal au monde pas de tendresse de ce côté-ci ! On peut ajouter le Honduras au tableau de chasse de Hillary Clinton. Elle était fraîchement élue secrétaire d’Etat lorsqu’en 2009, l’armée a renversé le président Manuel Zelaya. Un avant-goût de la méthode Clinton ? Son rôle en facilitant le renversement par des militaires d’un président démocratiquement élu illustre à la fois ses méthodes et ses convictions. Ses méthodes sont hypocrites et rusées elle feint une désapprobation du procédé tout en trouvant les moyens de l’imposer, contre l’ensemble de l’opinion internationale. Ses convictions, c’est clair, l’amènent à soutenir les éléments les plus réactionnaires dans un pays qui est le prototype de la république bananière c’est le pays le plus dominé par le capital et par la présence militaire des Etats-Unis de toute l’Amérique latine, le plus pauvre après Haïti. Zelaya aspirait à améliorer le sort des pauvres et des indigènes. Il osait même proposer de convertir une base militaire américaine en aéroport civil. A la trappe ! Et depuis, les opposants – par exemple la courageuse Bertha Caceres – sont régulièrement assassinés. Cette méthode porte un nom, le Smart Power. Pouvez-vous nous expliquer ce que c’est ? Dans le discours washingtonien, on distingue depuis longtemps le hard power » militaire du soft power » économique, politique, idéologique, etc.. Hillary Clinton, qui se vante d’être très intelligente, a pris comme slogan le Smart Power », le pouvoir malin, habile, qui ne signifie qu’une combinaison des deux. Bref, elle compte utiliser tous les moyens pour préserver et avancer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis. Si le Smart Power aspire à combiner la méthode douce et la manière forte, cette dernière semble avoir la préférence de Clinton malgré tout ! Oui, en tant que chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton a souvent montré une préférence pour la force contre l’utilisation de la diplomatie. On voit les mêmes tendances chez ses consœurs Madeleine Albright, Susan Rice ou Samantha Power. Surtout dans le cas de la Libye, Clinton a saboté les efforts de médiation des pays africains et même d’officiers supérieurs américains et du membre du Congrès Kucinich qui avaient pris contact avec les représentants de Gaddafi en quête d’un compromis pacifique. Elle s’opposait aussi aux négociations avec l’Iran. Et elle est prête à risquer la guerre avec la Russie pour chasser Assad, ce qui s’accorde avec son hostilité affichée envers Poutine. Les années Bush et la brutalité des néoconservateurs ont frappé les esprits, mais le Smart Power de Clinton semble tout aussi dangereux, non ? Tout à fait, cette femme est très dangereuse. Alors que les Etats-Unis s’apprêtent à renouveler leur arsenal nucléaire, alors qu’ils mènent une campagne de propagande haineuse antirusse qui dépasse celle de la guerre froide, alors qu’ils obligent leurs alliés européens à acheter une quantité énorme d’avions de guerre made in USA tout en poussant l’Otan à concentrer les forces militaires le long des frontières russes, la présidence de Mme Hillary Clinton représenterait un péril sans précédent pour le monde entier. Vous pointez dans votre ouvrage tout le poids du complexe militaro-industriel dans la politique étrangère des Etats-Unis. Finalement, la personne qui occupe le bureau ovale a-t-elle une marge de manœuvre ? La base matérielle de la politique guerrière des Etats-Unis, c’est ce complexe militaro-industriel MIC, né au début de la guerre froide, contre la dangerosité duquel le président Eisenhower lui-même a averti le public en 1961. Il a fini par dominer la vie économique et politique du pays. Les intellectuels organiques de ce complexe, logés dans les think tanks et les rédactions des grands journaux, ne cessent de découvrir, ou plutôt d’inventer, les menaces » et les missions humanitaires » pour justifier l’existence de ce monstre qui consomme les richesses du pays et menace le monde entier. Les présidents passent, le MIC reste. Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, le Parti de la Guerre » se sent tout-puissant et devient plus agressif que jamais. Hillary Clinton a tout fait pour devenir leur candidate préférée. Comment construire dès lors une alternative à ce Parti de la Guerre ? C’est la grande question à laquelle je ne saurais répondre. Par ailleurs, il n’existe pas de formule pour de tels bouleversements, qui dépendent d’une diversité de facteurs, souvent imprévisibles. La candidature tellement décriée de Trump pourrait en être un, car le vieil isolationnisme de droite est certainement un des éléments qui pourrait contribuer à détourner Washington de son cours vers le désastre. Qu’on le veuille ou non, il faut reconnaître que la gauche » est trop impliquée dans la farce des guerres humanitaires » pour être la source du revirement. Il faut une prise de conscience qui dépasse les divisions de classes et d’étiquettes politiques. La situation est grave, et tout le monde est concerné. Trump se demande en effet pourquoi les Etats-Unis devraient jouer au gendarme dans le monde entier, plaide pour des relations plus constructives avec la Russie et interroge l’utilité de l’Otan. Il est même opposé au TTIP ! Mais son protectionnisme conservateur ne pourrait-il pas conduire à d’autres guerres de grande ampleur ? N’y a-t-il pas d’autre espoir ? Il est difficile de qualifier un personnage tel que Trump comme espoir », mais il faut le situer dans le contexte politique américain. En Europe, et notamment en France, on persiste à prendre le spectacle des élections présidentielles américaines comme une évidence de la nature démocratique » du pays. Mais tous ces spectacles, avec leurs conflits et leurs drames, tendent à obscurcir le fait central la dictature de deux partis, tous les deux dominés par le complexe militaro-industriel et son idéologie d’hégémonie mondiale. Ces deux partis sont protégés de concurrence sérieuse par les règles particulières à chacun des cinquante Etats qui rendent quasiment impossible la présence d’un candidat tiers. L’exploit de Trump est d’avoir réussi à envahir et d’accaparer l’un de ces deux partis, le Parti républicain, qui se trouvait dans un état de dégradation intellectuelle, politique et morale extrême. Il l’a accompli par une sorte de démagogie très américaine, perfectionnée pendant sa prestation en tant que vedette d’un programme de télé-réalité ». C’est une démagogie empruntée au show-business plutôt qu’au fascisme. On ravit l’auditoire en étant choquant. L’invasion du jeu électoral par cet amuseur de foules est très significative de la dépolitisation du pays – tout comme la réussite plus modeste de Bernie Sanders montre le désir d’une minorité éclairée progressiste de réintroduire le politique dans le spectacle. Le Parti démocrate, tout corrompu qu’il soit, garde vraisemblablement assez de vigueur pour marginaliser l’intrus. Il a une ligne politique claire, représentée par Hillary Clinton néolibéralisme et hégémonie mondiale sous couvert des droits de l’homme. Il fera tout pour bloquer Sanders. Mais on peut toujours espérer que le mouvement inspiré par sa candidature contribuera à un renouveau durable de la gauche. A court terme, il reste Trump, ancien démocrate plus ou moins, malhonnête comme l’est forcément un homme d’affaires qui a réussi dans l’industrie de la construction, égoïste, comédien, dont on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Seulement, il peut difficilement être pire que Hillary, ne serait-ce que parce qu’il casse le jeu actuel qui mène directement à la confrontation avec la Russie. En tant que présidente, Hillary se trouverait bien chez elle à Washington entourée de néocons et d’interventionnistes de tout poil prêts à s’embarquer ensemble dans des guerres sans fin. Lui par contre se trouverait dans un Washington hostile et consterné. Ce serait une version originale du chaos créateur » cher aux interventionnistes. L’idée que le protectionnisme mène à la guerre » fait partie de la doctrine du libéralisme. En réalité, nous sommes déjà en pleine guerre, et un peu de retrait chez soi de la part des Américains pourrait calmer les choses. Que ce soit Trump ou Sanders, un certain protectionnisme » à l’égard des produits chinois serait nécessaire pour faire redémarrer l’industrie américaine et créer des postes de travail. Mais il est impossible aujourd’hui de pratiquer le protectionnisme » des années 1930. La peur du protectionnisme » mène à la politique néolibérale actuelle de l’Union européenne qui détruit toutes les protections des travailleurs. Au lieu de craindre Trump, l’Europe ferait mieux de le regarder comme un révélateur. Face à cette Amérique, les Européens doivent retrouver la vieille habitude de formuler leurs propres objectifs, au lieu de suivre aveuglément une direction politique américaine profondément hypocrite, belliqueuse et en pleine confusion. Le bon protectionnisme serait que les Européens apprennent à se protéger de leur grand frère transatlantique. Source Investig’Action Voir Diana Johnstone, Hillary Clinton. La reine du chaos, Editions Delga, 2015 Diana Johnstone analyse le lien entre les ambitions d’une politicienne sans scrupule, Hillary Clinton, et la machine qui sous-tend “l’empire américain” le complexe militaro-industriel, les médias, le lobby pro-israélien, et les intellectuels qui orientent le discours sur les droits de l’homme, le multiculturalisme ou les droits de minorités en faveur de la guerre perpétuelle. Passant en revue les conflits au Honduras, au Rwanda, en Libye, Bosnie, Kosovo, Irak, Syrie et Ukraine, Diana Johnstone illustre une caractéristique de l’empire américain qui diffère des empires passés une volonté de destruction d’ennemis potentiels plutôt que d’occupation et d’exploitation. En se faisant la porte-parole de “gauche” de l’offensive actuelle contre la Russie, avec le risque de guerre nucléaire qu’elle entraîne, Hillary Clinton renforce un des principaux dangers qui menacent l’humanité aujourd’hui. L’Institut pour l’Économie et la Paix réalise chaque année, un classement des pays en fonction de leur dangerosité et de leur niveau de sécurité. Découvrez quels sont en 2018, les 5 pays les plus dangereux et les 5 pays les plus paisibles, en quelques photos saisissantes… de beauté ! Rédigé par , le 15 Aug 2018, à 16 h 40 min Un Institut australien, l’Institute for Economics and Peace Institut pour l’Économie et la Paix réalise depuis 12 ans le Global Peace Index », l’Index de Paix Mondiale. Il mesure l’indice de sécurité dans 163 pays, qui représentent 99 % de la population. Globalement, le niveau de paix et de sécurité dans le monde a baissé depuis 2017. Six des neuf régions du monde ont perdu du terrain au cours de la dernière année. Les quatre régions les plus pacifiques que sont l’Europe – toujours considérée comme le continent le plus paisible, l’Amérique du Nord, l’Asie-Pacifique et l’Amérique du Sud – ont toutes enregistré des détériorations. La plus grande étant survenue en Amérique du Sud, en raison essentiellement d’une hausse des incarcérations1. Carte de la paix dans le monde, du vert le plus paisible au rouge le plus dangereux © vous dévoile la liste des pays les plus dangereux, et des pays les plus paisibles, dans un diaporama étonnant qui montre surtout la beauté méconnue de ces 10 pays, dont la moitié est terriblement touchée par la guerre, le terrorisme, la criminalité, la corruption, le déni des droits de l’homme, etc. Cinquième pays le plus dangereux la Somalie La Somalie fait partie du top 5 des pays les plus dangereux. Ce pays de la corne de l’Afrique a connu de douloureux épisodes de famine et est depuis longtemps instable et en situation de guerre civile. Malheureusement ce n’est pas prêt de s’arranger quand on sait que l’armée somalienne, elle-même, vient d’être sommée de se conformer au droit international humanitaire. Laas Geel, plus ancien et le plus important foyer d’art rupestre de la corne de l’Afrique © mbrand85 Ce pays comprend pourtant des régions magnifiques avec des paysages allant du désert à la plage. Lire page suivante l’Irak Références Global Peace Index 2018 en anglais Pour vous c'est un clic, pour nous c'est beaucoup ! consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Pauline Petit A la découverte du monde de demain, initiatives positives, personnalités inspirantes, nouveaux modèles économiques. Sans cesse dans les livres, sur le Net... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur  L'IEP Institute for Economics and Peace, organisation à but non lucratif publie chaque année son rapport "Global Peace Index", seule étude à quantifier la paix dans le monde. L'étude se porte sur 149 états indépendants, et analyse 23 indicateurs qualitatifs et quantitatifs facteurs internes et externes, couvrant les dépenses militaires aux relations avec les pays voisins, en passant par les niveaux de violence criminelle. Les 10 pays dans lesquels il fait bon vivre en 2013 sont Islande indice à 1,162 points Danemark 1,207 Nouvelle-Zélande 1,237 Autriche 1,250 Suisse 1,272 Japon 1,293 Finlande 1,297 Canada 1,306 Suède 1,319 Belgique 1,339 ...53. France ... ...99. Etats-Unis Source et suite de classement Global Peace Index report Voir aussi le classement des pays les plus dangereux et les moins pacifiques du monde. Le président Vladimir Poutine en personne s'est fait dès août le VRP du "Spoutnik V", premier vaccin anti-Covid enregistré dans le monde, témoignant des efforts russes d'en faire aussi un atout Russie s'est attirée une pluie de critiques, des scientifiques occidentaux qualifiant l'annonce de prématurée, celle-ci étant intervenue avant même les essais cliniques de masse phase 3 et la publication de résultats communauté internationale, surtout occidentale, y a aussi vu la volonté de Moscou d'étendre son influence dans le dans la foulée de l'annonce de Vladimir Poutine, affirmant que sa propre fille s'était fait inoculer une dose expérimentale, Moscou a mis en avant des partenariats internationaux pour les essais cliniques Bélarus, Venezuela, Inde et la production Inde, Brésil, Chine, Corée du Sud du les hydrocarbures, les armes, l'énergie atomique, Moscou aimerait ajouter le vaccin à son arsenal d'influence économique et diplomatique et s'assurer une part du marché des pays en ce premier vaccin symbolise aussi le leitmotiv de la politique du maître du Kremlin depuis deux décennies la Russie est de retour."C'est une manière pour lui de montrer que le pays est capable de ... faire partie de l'élite scientifique mondiale, de faire même mieux que les pays développés", estime la politologue Tatiana Stanovaïa, fondatrice du centre d'analyse nationaleEn 1991, après la fin de l'URSS et du Comecon marché commun des pays communistes, la Russie s'est en effet retrouvée presque sans industrie pharmaceutique. Longtemps dépendant des laboratoires occidentaux, le pays a depuis mis en place un important effort de rattrapage par un programme de substitution des importations."Les vaccins produits en Russie sont souvent des vaccins étrangers, alors que là il s'agit d'un des premiers conçus exclusivement en Russie, c'est une fierté nationale", indique à l'AFP Jean de Gliniasty, spécialiste de la Russie à l'IRIS."Cela symbolise le retour de la Russie dans la cour des grands en matière pharmaceutique. Ils vont essayer d'en tirer le maximum de retombées sur le plan du soft power", ajoute cet ancien ambassadeur de France à nom choisi pour le vaccin annonce la au premier satellite du monde, lancé par l'URSS en 1957, le "Spoutnik V" rappelle une prouesse scientifique russe et un revers historique pour le rival si Moscou voudrait néanmoins coopérer avec l'Occident comme le montre un partenariat avec AstraZeneca, ce sont surtout les pays avec lesquels la Russie entretient déjà des relations positives qui répondent Stanovaïa exprime un regret "il y a des domaines dans lesquels les Russes sont bons", mais leur façon de politiser le sujet joue contre de la géopolitique, la Russie veut aller vite pour son propre bien afin d'éviter un deuxième confinement et d'asphyxier l'économie, elle mise sur le vaccin pour sortir de la nouant des partenariats, Moscou cherche à remplir un vrai besoin celui d'élargir ses capacités de de productionSi la Russie a annoncé que 1,2 milliard de doses du vaccin lui ont été pré-commandées dans le monde, sa capacité de production propre est autorités ont en effet indiqué que deux millions de doses seraient produites dans le pays d'ici fin 2020, alors que le pays compte près de 145 millions d'habitants et que deux doses sont nécessaires par octobre, le président a reconnu que le pays était confronté à des problèmes de production et a dit être à cet effet "prêt à coopérer avec nos collègues scientifiques plus étroitement qu'auparavant".La Russie a ainsi conclu un accord avec un groupe indien, qui s'est engagé à produire plus de 100 millions de doses par sur ce terrain que Moscou pourrait innover, selon Nathalie Ernoult, co-directrice de l'Observatoire de la santé mondiale de l'IRIS "Si la Russie fait de véritables transferts de technologie, donne la formule pour pouvoir produire le vaccin, ça répondrait à un appétit d'un certain nombre de pays d'aller vers l'autonomie".08/12/2020 132212 - Moscou AFP - © 2020 AFP

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